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dc.contributor.authorABROUG, Foued
dc.contributor.authorGERMAIN, Guénaël
dc.contributor.author
 hal.structure.identifier
CHOVE, Etienne
21439 Institut de Recherche en Communications et en Cybernétique de Nantes [IRCCyN]
dc.contributor.author
 hal.structure.identifier
MOREL, Franck
206863 Laboratoire des Arts et Métiers ParisTech d'Angers - Procédés Matériaux Durabilité [LAMPA - PMD]
dc.contributor.authorPESSARD, Etienne
dc.date.accessioned2016
dc.date.available2016
dc.date.issued2016
dc.date.submitted2016
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/10985/11392
dc.description.abstractLors du fraisage UGV de pièces aéronautiques, certains défauts géométriques, tels que les ressauts et les marques de vibration, peuvent être générés. Pour obtenir une surface de bonne qualité, une opération de rectification (manuelle et coûteuse) est souvent conduite pour faire disparaître ces défauts d’usinage. Afin d’améliorer leur tenue à la corrosion, ces pièces subissent également un traitement de surface (décapage + anodisation) susceptible de générer des piqûres en surface. L’objectif de cette étude est d’identifier l’impact sur la tenue en fatigue de la présence des défauts de surface crées lors de l’usinage UGV ou du traitement de surface sur l’alliage d’aluminium 7050. Après avoir répertorié et reproduit les défauts de surface fréquemment observés sur les pièces industrielles, une campagne d’essais de fatigue en flexion plane est réalisée. Différents états de surface sont générés sur la surface d’un nombre suffisant de lots d’éprouvettes. Les premières caractérisations d’intégrité de surface réalisées tendent à montrer que l’effet de l’usinage sur les contraintes résiduelles et l’écrouissage est peu marqué dans nos conditions. Seul l’aspect géométrique des surfaces étudiées est donc considéré dans ce travail. L’objectif est dans un premier temps de hiérarchiser les défauts de surface en fonction de leur impact sur la tenue en fatigue tout en fixant des critères discriminants qui spécifient leur acceptabilité. Les résultats montrent qu’il est nécessaire de dégrader de manière importante l’état de surface pour observer un abattement de la tenue en fatigue. Par ailleurs, on constate bien que l’opération de ponçage manuelle permet de supprimer l’effet des défauts d’usinage sur le comportement en fatigue. Afin de prédire l’effet de l’état de surface sur la tenue en fatigue, une approche numérique est également développée. La topologie de surface est caractérisée expérimentalement pour être introduite dans un modèle éléments finis. La localisation de l’amorçage observée numériquement est en accord avec l’expérience. Les prédictions de différents critères en fatigue sont discutées sur une large gamme de défaut de surface.
dc.language.isofr
dc.rightsPost-print
dc.subjecttenue en fatigue
dc.subjectdéfauts d'usinage
dc.subjectalliage d'aluminium
dc.titleEffet des défauts d’usinage sur la tenue en fatigue d’un alliage Al7050.
dc.typdocConférence invitée
dc.localisationCentre de Angers
dc.subject.halSciences de l'ingénieur: Mécanique: Mécanique des matériaux
ensam.audienceNon spécifiée
ensam.conference.title9ème Assises MUGV2016 -LMR –CEROC, Tours, 8-9 juin 2016
ensam.conference.date2016
ensam.countryFrance
ensam.cityTours
ensam.peerReviewingOui
ensam.proceedingOui
hal.submission.permittedtrue
hal.statusunsent


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